Interview de Kevin, le franchisé Baby Time de Nantes

Publié le 29/11/2018
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Retour sur une expérience passionnante, avec Kevin,

franchisé Baby Time à Nantes

 

 

 

Bonjour Kevin, avant d’ouvrir Baby Time à Nantes, quel a été votre parcours ?

 

J’ai été footballeur professionnel :  j’ai intégré l’école de formation du FC Nantes,  dès l’âge de 13 ans et j’ai signé un contrat  pro de 3 ans.

Malheureusement, j’ai subit de grosses  blessures qui m’ont amenées à mettre un terme à mon rêve de jouer au plus haut niveau.

J’avais un ami qui était franchisé dans le prêt à porter.

Il savait que je menais des recherches dans le domaine de la petite enfance : au départ, j’envisageais plutôt de travailler avec des enfants en direct, mais en même temps, le contact avec les familles m’intéressait fortement.

 


Comment s’est faite la rencontre avec le réseau Baby Time ?

 

J’ai découvert Baby Time par l’intermédiaire de cet ami, et j’ai contacté Sylvain Nebout le fondateur qui lançait sa franchise. Sylvain a eu aussi un passé de sportif de haut niveau : on a tout de suite eu un bon feeling.

J’ai ressenti de la confiance et j’étais face à des gens très bien (les fondateurs Sylvain et Alix).

J’ai tout de suite adhéré aux valeurs de ce réseau : j’ai ressenti le côté humain par rapport à ce métier.

Donc, des valeurs communes, et le même ressenti par rapport au métier, j’avais trouvé mon réseau !

 

Par acquis de conscience, j’ai appelé Sophie, la 1ère franchisée historique  à Clermont. Elle n’a fait que confirmer mon ressenti (mais pour être tout à fait franc, mon avis était déjà arrêté).

 

Comme tout se recoupait, du coup, et même si j’avais mené d’autres démarches (des demandes d’information),  je n’ai pas poussé plus loin mes investigations.

J’ai eu de la chance.

 

 

 

Après ce démarrage d’activité, le franchiseur vous apporte t’il tout l’accompagnement que vous souhaitez ?

 

Ils sont très présents : c’est un super accompagnement ; ce n’est pas le cas de toutes les structures, comme j’ai pu le découvrir par la suite en échangeant avec les franchisés d’autres réseaux.

 

Nos échanges sont très appréciables.

 

Et puis, j’ai démarré à 25 ans un nouveau métier : très éloigné de mes compétences de base : c’était compliqué. Le franchiseur m’a toujours épaulé et ça je ne l’oublie pas.

 

Mes qualités de sportif de haut niveau me servent car le métier est très prenant : je suis perfectionniste et très rigoureux.

Un des points importants dans le métier est la réactivité. Nous ne pouvons pas nous permettre de laisser une famille ou une intervenante dans le besoin. Qu’il s’agisse des parents ou des nounous, on veut rester dans cet état d’esprit familial. On est entre humains, et ça doit rester comme ça.

 

Nos clients viennent chercher cette proximité. Pas rapport à d’autres réseaux, nous n’avons pas de central d’appels : nous sommes 2 sur l’agence de Nantes pour répondre : les familles se retrouvent avec les mêmes personnes.

En d’autres mots, on privilégie le « Small is beautiful ».

 

Et ça marche ?

 

L’an dernier, j’ai presque doublé mon CA, mais seul. Là il était temps d’embaucher.

Et donc, à deux, notre progression du CA se poursuit.

Et qualitativement ; c’est donc encore mieux que l’an dernier, car notre disponibilité pour les familles et les accompagnants s’en trouve encore accrue.

J’ai gagné en confort de vie et en temps passé en famille car seul, le métier est très prenant.

  

Comment expliquez vous cette progression ?

 

  • Le bouche à oreille fonctionne très bien dans notre métier : ça y fait beaucoup et ça reste la meilleure des pub,
  • Il y a aussi la fidélisation des familles,
  • Enfin un petit budget pub permet d’assurer de la distribution de flyers, qui reste un bon support de com pour nous.

 


Maintenant que vous avez acquis le métier, que vous apporte le franchiseur ?

 

 

Tout d’abord, je n’oublie pas l’accompagnement au démarrage de Sylvain (et Alix) qui m’a vraiment soutenu au lancement et encore aujourd’hui,

Et puis, quand on a fait un sport collectif pendant longtemps, on aime l’idée d’avancer ensemble, en équipe et main dans le main.

On peut aussi partager des idées pour avancer ensemble, on va plus loin.

Et puis, le franchiseur fait évoluer ses outils : le logiciel qu’on a installé en 2017 est bien plus performant que le précédent.

Le site internet a également été repensé dernièrement,

Il y a une recherches permanente d’amélioration, qu’il s’agisse de campagnes de pub, mais aussi dans les process, par exemple pour faciliter la vie des intervenants.

 


Quelques conseils à quelqu’un qui veut se lancer ?

 

  

Moi j’ai fait une bonne étude de marché : je n’avais pas les fonds donc j’ai tout mené de A à Z.

Il faut aussi être travailleur dans ce métier : il ne faut pas compter ses heures. On n’a rien sans rien : seul le travail paie. Il ne faut pas prendre le projet à la légère.

Enfin, le relationnel est une qualité essentielle ! En fait je pense qu’il faut aimer les gens ; mais sincèrement : avec les familles et les intervenants, c’est important : écouter, comprendre les besoins.

Des échanges pour trouver des solutions et aider les personnes.

Attention, nous franchisés, on  ne s’occupe pas des enfants. On s’occupe des parents et des accompagnants, qui eux s’occupent des enfants.

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